Publics : Famille
Styles : Balade, Campagne, Découverte, Forêt, Terroir
Thèmatiques : Balade nature, Bord de l'eau, Culturel, Historique, Patrimoine, Tourisme de mémoire
Point de départ : Place Maurice Brasseur 6 - 6280 Loverval
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A la découverte de l’art déco
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2h – 6km
Cette boucle de 6 km, à l’extrême nord-ouest de l’entité, nous fait découvrir Loverval dans toute sa diversité. Elle peut aisément être divisée en deux par la très fréquentée N5. A l’est : partant du « vieux Loverval » aux abords de la place Brasseur, elle traverse le « quartier des Morlères », voisine le « Verger Namèche » et visite « Loverval la sportive » et son centre ADEPS. A l’ouest : depuis l’arrière de la bibliothèque, elle serpente dans le « quartier du Try d’haies » avec ses rues étroites et ses venelles, s’enfonce dans le bois de Loverval qui abrite la « grotte des Sarrasins », découvre « Loverval la récréative » avec le centre de délassement, ses grands lacs et les courts de l’Astrid Bowl pour arriver au « quartier du Chéniat ». Pour la boucle complète, le retour vers l’église St-Hubert se fait depuis le Chéniat par « la cascade » aux confins de Loverval et de la commune voisine de Couillet.
Loverval est, historiquement, un très ancien village caché dans l’écrin de ses bois et de ses eaux. Véritable poumon vert à la sortie de l’agglomération carolorégienne, c’est aujourd’hui un important centre résidentiel. La route de Charleroi à Philippeville coupe son territoire en deux parties suivant un angle Nord- Sud. A l’Est, s’étendent le Vieux Loverval et les Morlères, à l’Ouest, le Try d’Haies et le Chêniat. Le Chêniat ou bois planté par opposition aux « haies » ou bois sauvages est un quartier résidentiel aisé construit entre les deux guerres pour la bourgeoisie aisée carolorégienne fatiguée de la ville. Plusieurs villas sont l’œuvre de l’architecte moderniste belge, Marcel Leborgne. Ici se retrouvent la Grenouille et les Nénuphars, la Pagode chinoise, la villa du compositeur Gaston Monseu et surtout, à l’angle de la grand-route, le manoir du Chéniat, résidence d’été de l’artiste, écrivain et architecte, Marcel Depelsenaire. C’est ici aussi que vécu l’humaniste wallon Elie Baussart.
L’avis du promeneur : Parcours aisé mais difficilement accessible aux voitures d’enfants et aux personnes à mobilité réduite en raison de la présence d’escaliers.